Une configuration homogène

Cette configuration complète n’a pas pour vocation de délivrer des performances hors du commun. Sans soulever l’enthousiasme, elle convient en revanche à une utilisation classique : bureautique, Internet et lecture de DVD. Le chipset nVidia nForce 430 gère les 2 Go de mémoire vive en double canal, ainsi que le processeur double coeur AMD Sempron 2100 qui est cadencé à 1,8 GHz. L’ensemble permet un usage polyvalent, malgré les limites du circuit graphique, un GeForce 6150 SE intégré qui montrera rapidement ses insuffisances dans les jeux exigeant des ressources importantes en 3D. Le reste de l’équipement forme une configuration homogène avec un disque dur de 250 Go et un graveur de DVD double couche. Silencieux, le Presario est, en outre, très peu énergivore: ce qui est toujours très apprécié. Le prix de cet ensemble paraît d’autant plus abordable qu’il inclut un clavier, une souris et un écran LCD de 22 pouces.

Caractéristiques

Intel Core 2 Duo E8500 à 3,16 GHz, 4 Go de DDR 2, chipset nForce 630i, carte graphique nVidia GeForce 7150 et 9600 GT, 2 disques SATA Maxtor de 500 Go, lecteur Blu-ray / HD-DVD, graveur DVD.

On aime

Écran de 22 pouces – Silencieux et économe.

On n’aime pas

Performances 3D – Pas de baie pour un second disque dur.

En résumé

Pour 500 €, ce PC est vraiment une bonne affaire, même si ses performances sont modestes. Il est livré avec un écran de 22 pouces d’une qualité fort convenable.

Verdict : 7/10

Une station musclée et luxueuse

Avec ce QuadStation,  Carri a voulu nous en mettre plein la vue. Vous trouverez en effet dans ses entrailles tout ce qui existe de mieux à ce jour dans le commerce. De la carte mère e-VGA au processeur quadricœur haut de gamme, en passant par le quad-SLI, le sous-système RAID 0 composé de deux disques Raptor
150 à 10 000 tr/mn contrôlés via une carte contrôleur dédiée… Bref, tout ici n’est que luxe et raffinement technologique. Pour un tel équipement, il était inconcevable d’avoir un assemblage approximatif, et Carri s’est montré à la hauteur de la tâche.
En la matière, la QuadStation ne souffre d’aucune critique. Les passages des câbles et le montage des éléments sont particulièrement soignés, tout est parfaitement en place et pas un fil disgracieux ne dépasse. Pour autant, le boîtier retenu est loin d’être tape-à-l’œil ; il fait même preuve d’une grande discrétion. Bien entendu, avec un tel ensemble high-tech, la configuration atteint le plus haut degré de performances qu’on peut espérer de ce type sur machine. Il faut s’y attendre, le tarif est en conséquence. Mais les joueurs les plus acharnés apprécieront sûrement les deux cartes 9800 GX2 propulsées par 4 processeurs graphiques dédiés. Avec une telle armada, les jeux affichent une grande fluidité, quels que soient les filtres activés ou la finesse de l’image exigée. Bref, voici un must.
Il n’en reste pas moins que, renouvellement de gamme nVidia oblige, on prendra soin d’opter pour des cartes GTX 280 en lieu et place des 9800 GX2 déjà obsolètes, pour un niveau de prix similaire. De nouvelles cartes qui devraient pallier les quelques déconvenues rencontrées lors des tests, comme une instabilité temporaire ou des temps de réponse aléatoires.

Une plate-forme à faire évoluer

Bien que déjà richement nantie en nouvelles technologies (et vendue à un tarif également élitiste), vous pourrez faire évoluer cette machine au gré des innovations. Ainsi, vous choisirez peut-être d’améliorer le système de disque dur pour des modèles encore plus rapides, tels que les WD VelociRaptor, avec, à la clé, un gain de 40 % environ, ou vous opterez pour la dernière nVidia GTX 280 – gain de l’ordre de 40 % également.

 

Caractéristiques

Intel Core 2 Quad QX9650, 4 Go de DDR 3, 2 HDD Raptor de 150 Go et 1 Seagate de 750 Go, 2 cartes graphiques GeForce 9800 GX2, Windows Vista Pro.

On aime

– Performances
– Assemblage

On n’aime pas

– Consommation électrique
– Prix

En résumé

Une bête de jeu, un concentré de composants ultrapuissants, un prix vertigineux : la QuadStation de Carri  suscite les superlatifs… Et la machine peut encore gagner en puissance.

Le tout-en-un low-cost à grand écran non tactile

Après une année 2008 fortement marquée par la déferlante « netbook » dont le nombre de modèles ne cesse d’augmenter pour se compter maintenant par dizaines, l’engouement du public pour le design, la simplicité et l’aspect pratique ne cesse de croître. Pour toute une frange des utilisateurs, la technologie est devenue incontournable soit, mais il faut aussi qu’elle s’intègre à leur cadre de vie de la façon la plus harmonieuse possible.

MSI-NetOne
MSI n’entend pas se laisser distancer par Asus. Comme avec son netbook Wind l’année dernière, MSI reprend le concept tout-en-un économe et l’arrange à sa sauce. Ses points forts : son écran de 18,5 pouces et surtout la présence d’un lecteur/graveur de DVD dont il est encore difficile de se passer de nos jours. Cela se traduit néanmoins sur une impasse sur l’écran tactile contrairement à ce qu’avait annoncé le constructeur. Une technologie qui, bien que ludique et prometteuse pour l’avenir, n’en est qu’à ses balbutiements. Le constructeur nous a tout de même confié y songer sérieusement pour l’avenir notamment pour Windows Seven qui devrait être optimisé pour ce type d’usage. Reste que le NetOne offre un design trop conventionnel pour se démarquer réellement, mais l’ensemble constitue tout de même un produit intéressant à ce niveau prix.

Son autonomie s’adapte à vos besoins

Voilà un portable 13,1 pouces qui vous suivra absolument partout. Pas seulement parce que sa connexion 3G vous donne accès à internet en tout lieu, mais parce que son autonomie atteint des records.

En effet, le fabricant a doté son portable de l’ingénieuse touche Stamina qui permet de privilégier soit les performances graphiques, soit l’autonomie. Dans le premier cas, le Z11 fait appel à la puce graphique nVidia GeForce GT330M, dans le second, il utilise la puce Intel, moins performante, mais aussi plus économe en énergie. Le résultat est explicite puisqu’on passe de 1 h 45 d’autonomie dans le premier cas à 3 h 22 dans le second. L’utilisation de deux SSD en Raid 0 pour une capacité globale de 128 Go n’y est pas étrangère. Enfin, l’équipement est performant : l’Intel Core i5-520M est véloce et la mémoire de 4 Go largementsuffisante pour un usage intensifs.
La touche Stamina vous permet de choisir entre performances graphiques (confiées à une GeForce GT330M) et une autonomie de 3 h 22.

Caractéristiques

Processeur Intel Core i5-520M, 4 Go de mémoire vive, Intel HD Graphics, nVidia GeForce GT330M, SSD de 128 Go, écran de 13,1 pouces de 1 600 x 900 pixels, module 3G+, 31,4 x 21 x 3,3 cm, 1,41 kg

Le Storex AivX 360 HD fait partie de la nouvelle génération de lecteurs multimédias adaptés aux formats haute définition. A ce titre, il dispose de la connectique adéquate, tant analogique que numérique, lui permettant d’être relié à un diffuseur compatible avec des définitions allant du 720p au 1080p. En vidéo, hormis les MKV, peu de formats lui résistent. Le Storex est en effet capable de lire les fichiers d’extension AVI, DAT, VOB, WMV et MPG. Il reconnaît notamment les formats DivX, XviD et Windows Media 9. En audio, ce disque multimédia prend là aussi en charge la plupart des formats tels que le MP3, le WMA et le OGG Vorbis.
Les photos, quant à elles, se visionnent seulement aux formats JPG ou GIF. Une fois connecté, ce disque dur nécessite un temps d’initialisation très court (moins de 35 secondes), ce qui est fort appréciable. Très simple d’utilisation grâce à son petit écran LCD, l’AivX bénéficie d’une interface limpide sur le téléviseur.
Les différentes catégories (vidéo, photo, musique, ebook, etc.) s’affichent alors sous la forme d’icônes très graphiques. Un certain délai existe cependant entre la sélection d’une option et son exécution. D’ailleurs, ce défaut se retrouve aussi lorsqu’on manipule les fonctions Avance et Retour rapides sur un film. En revanche, ce problème n’a pas été rencontré lors de la lecture de fichiers MP3.
Disponible dans des capacités de 250 à 750 Go, l’AivX 365 HD présente de nombreux atouts, dont le principal : la restitution de vidéos HD dans une qualité quasi irréprochable. Regrettons toutefois son prix, largement plus élevé que celui de ses concurrents.

Caractéristiques

Capacité de 500 Go, port USB, prises : 2 HDMI, composantes, composite, S-Vidéo, prise en charge des définitions allant du 720p au 1080p, prise en charge des codecs Mpeg 2, Mpeg 4, DivX, XviD, WMV 9.

On aime

– Rapidité de démarrage
– Qualité de restitution des vidéos
– Connectique

On n’aime pas

– Avance et Retour rapides sur vidéos perfectibles
– Navigation parfois un peu trop longue

EN RÉSUMÉ

Simple à utiliser et rapide à démarrer, l’AivX 365 HD est également un excellent lecteur de vidéos haute définition.

De grandes ambitions pour un résultat minimaliste

Radio. Dictaphone. Lecteur photo, audio, vidéo. Écran couleur tactile. 8 Go. Le prix est intéressant, l’appareil est joli. La pratique est moins enthousiasmante. On navigue dans les menus du bout de l’ongle, de manière souvent ardue. Sélectionner un élément exige parfois doigté et précision. Le système ne laisse pas le droit à l’erreur. Cinq zones sensibles, situées sur le bord droit de l’écran, permettent de gérer le contrôle du volume, le retour au menu principal, le dictaphone ainsi que l’utilitaire de prise de notes. Dommage qu’en raison de leur placement biscornu, elles soient si difficilement accessibles. L’écran offre une très bonne luminosité et une définition convenable. Mais sa teinte varie selon l’angle de vision. Autre écueil : nous n’avons pas pu convertir de vidéo avec le logiciel fourni. Le son enregistré par le dictaphone est parasité, et le casque, doté d’une antenne FM, reçoit très mal la radio. Tout cela est bien dommage pour un lecteur multimédia.

Caractéristiques

Lecteur audio/vidéo/photo portatif, écran LCD couleur tactile 2,4 pouces, radio, dictaphone, prise de notes, lecture d’ebooks, connexion USB, stylet fourni, 80,8 x 47 x 11,6 mm, 59 g.

On aime

– Le design
– La luminosité de l’écran
– L’affichage des photos

On n’aime pas

– Le casque
– L’interface
– La réception radio
– Les variations de teinte de l’écran

En résumé

L’interface tactile du WooZ en est à ses débuts. L’appareil est peu pratique à utiliser et la navigation souvent déroutante.

Un système audio sans fil beaucoup trop cher

Côté prix, Logitech y va très – très – fort : 400 euros pour sa Squeezebox. C’est le coût d’un iPhone! Pour quoi faire? Pour diffuser la musique contenue dans l’ordinateur ou directement des webradios dans le salon, la chambre, la salle de bains… Du luxe en somme. Le système est composé de deux objets. D’un côté, le récepteur (petit, carré, noir, très zen) qui doit être relié à votre ampli. De l’autre, une grande télécommande noire, parée d’un écran couleur 2,4 pouces, une roue mécanique façon iPod première génération, quatre boutons de navigation et les touches de contrôle. Très concrètement, la télécommande est faite d’un plastique noir brillant et… glissant. Sa forme, rectangulaire et basique, n’est absolument pas ergonomique. La première demi-heure d’utilisation est peu enthousiasmante. Le paramétrage du Wifi s’avère pénible si la connexion est chiffrée. Une fois le système mis en place, les morceaux de musique (gérés par iTunes) sont immédiatement accessibles. Mais l’ensemble montre cependant assez rapidement ses limites. L’interface manque de réactivité. Instinctivement, vous faites tout très vite: tourner la roue, confirmer par le bouton central, retour, changement de volume. Bref, vous utilisez la télécommande. Mais le pointeur se traîne souvent. Les boutons autour de la roue sont mous et s’enfoncent grossièrement dans la coque. Un iPod nano est plus rapide à utiliser, et une télécommande Harmony One bien plus agréable en main. Reste ce pour quoi vous payez réellement : l’écran couleur et le système de navigation. L’interface de ce dernier est réussie et agencée de manière logique. Les informations associées aux chansons s’affichent correctement, mais les pochettes d’albums répondent souvent aux abonnés absents. L’accès aux webradios françaises est décevant, car seules les principales stations de la bande FM sont disponibles. En définitive, malgré l’aspect pratique du système et son bon fonctionnement, ce produit ne mérite pas son positionnement tarifaire haut de gamme.

Caractéristiques

Télécommande Wifi avec écran couleur 2,4 pouces, récepteur audio/Wifi, sorties analogiques stéréo, optique, coaxiale, connecteur réseau, fonctionne avec le logiciel SqueezeCenter 7 à télécharger.

On aime

– Navigation simple
– Parfaite reconnaissance de la bibliothèque musicale

On n’aime pas

– Manque d’ergonomie
– Interface peu réactive
– Prix exorbitant

En résumé

La finition de la télécommande déçoit. Elle manque d’ergonomie. L’interface est trop lente pour être vraiment agréable à utiliser. Le prix est démesuré.

Grundig, que l’on n’avait pas vu depuis longtemps, propose un appareil très singulier : un lecteur de DVD portable, compatible JPG, MP3 et DivX. Autonome (sans PC), vous l’emportez donc où vous voulez et le nourrissez de galettes remplies de fichiers multimédias. Premier bon point : le fabricant livre le câble HDMI, ce qui, mine de rien, assure une économie d’au moins 15 euros. Nos vidéos de test, encodées en XviD, ont été lues correctement. Les photos en JPG, d’une taille d’environ 3 Mo en moyenne, s’affichaient plus rapidement que sur d’autres appareils du genre. La navigation dans les menus est très simple. Vous zoomez dans une photo ou en changez l’orientation très facilement. Mieux, vous pourrez raccorder un disque ou une clé en USB et profiter des fichiers qu’ils contiennent. La télécommande, légère et de petite taille, est très pratique. L’avance rapide est très véloce, jusqu’à 32X, et la lecture reprend presque immédiatement. Son prix, enfin, même comparé au plus petit des disques durs multimédias, reste compétitif.

Caractéristiques

Lecteur DVD/DivX portable, sortie optique, compatible DVD, DivX, WMA et JPG, port USB Host, câble Nero Digital Limited Edition.

On aime

– Le design
– La rapidité d’exécution
– Le port USB

On n’aime pas

– Ne lit que les DVD/DivX
– Le bloc d’alimentation externe

En résumé

Le port USB est ce qui différencie vraiment ce lecteur DVD/DivX des autres platines. Il est de petite taille et s’emporte facilement.

Jusqu’à présent, Hercules se contentait de développer des consoles destinées à un public amateur désireux de s’adonner aux joies du mixage de MP3. Fort du succès de ses précédentes versions, Hercules propose une table plus aboutie visant les semi-professionnels. Son design, plutôt fin et sobre, a été particulièrement soigné. L’aluminium brossé ajoute une impression de robustesse digne d’un matériel professionnel. L’ergonomie a aussi été grandement améliorée. Les différents boutons de commandes sont à ce titre suffisamment espacés pour empêcher toute manipulation malencontreuse. D’ailleurs, l’agencement des commandes sur la DJ Console Rmx a été pensé comme s’il s’agissait d’une table de mixage haut de gamme. De telle sorte que le professionnel, ou l’amateur, retrouve parfaitement ses marques. La table est organisée de façon symétrique. Chaque commande est doublée et dédiée à une voie. On trouve donc deux mollettes indispensables pour scratcher, un crossfader pour passer subtilement d’une piste à l’autre et deux glissières permettant d’agir sur la vitesse des morceaux. La Rmx dispose d’une petite nouveauté : les boutons Kill permettent de couper, par une simple pression, les graves, médiums ou aigus. Ces fréquences peuvent par ailleurs être réduites de façon graduelle par l’intermédiaire de potentiomètres dédiés. La console offre également un contrôle de la lecture avec les traditionnels boutons Play/Pause, Précédent, Suivant. Sans oublier le bouton Cue, très utile pour créer des points d’entrée et de sortie sur chaque piste. Tout aussi pratique, la fonction Autobeat permet de synchroniser deux morceaux automatiquement, sur un même tempo, pour les enchaîner sans coupure. Après quelques heures d’utilisation, les débutants pourront très vite rêver à la conception d’une compilation de l’été. Les plus avertis apprécieront la souplesse et l’efficacité de cette table de mixage. Grâce au logiciel Virtual DJ fourni (lire encadré), les plus habiles pourront même remixer des titres. Signalons que les possesseurs de platines vinyle ou CD pourront également profiter de la Rmx par l’intermédiaire des quatre entrées audio analogiques.

Remixez vos titres avec Virtual DJ

Virtual DJ 5 DJC Edition est graphiquement réussi. L’interface présente à l’écran deux platines vinyles. Les pistes de lecture figurent au-dessus de ces dernières, et dans la partie inférieure sont affichés les MP3 du disque dur. Pour les lire, il suffit de glisser les morceaux sélectionnés sur chacune des deux platines virtuelles, puis d’appuyer sur la touche Play du logiciel ou de la table de mixage. Les manipulations peuvent se faire sur la console ou sur le logiciel.

Caractéristiques

Table de mixage pour 2 platines virtuelles et 2 physiques, lecture des fichiers WAV, MP3, WMA, 2 prises micro, 2 prises casque, 4 entrées et sorties RCA, 2 sorties jack 6,35 mm, logiciel Virtual DJ, 35 x 25 x 5 cm.

On aime

– La possibilité de mixer avec des vinyles
– La fabrication
– La simplicité
d’utilisation

On n’aime pas

– L’offre logicielle limitée

En résumé : Hercules table sur le semi-professionnel et le résultat s’avère positif pour un prix somme toute raisonnable et une ergonomie bien pensée.

Verdict : 9/10

Le Rixid Atlanta FG-200 est construit autour d’un disque de 2,5 pouces. Pour un disque dur externe, il offre de bonnes performances, avec un débit moyen de 29,7 Mo/s. Connecté au téléviseur ou à un écran, il reconnaît la plupart des formats (JPG, MP3, Mpeg-2, AVI et toutes les variantes du DivX), sauf le MKV, ce qui n’est pas un frein puisque l’Atlanta ne délivre pas de signal haute définition. Sa connectique est limitée (une prise VGA, des sorties audio, vidéo, composite et composante), mais un lecteur de cartes mémoire complète la donne. Il lit les cartes Compact Flash, Memory Stick, SD et MMC. Le transfert des photos sur le disque dur en est facilité. De plus, le FG- 200 permet de les visionner directement depuis la carte mémoire. L’interface, bien qu’austère, permet de naviguer de façon assez intuitive et la télécommande est plaisante à utiliser. Dommage que certaines fonctions, comme l’avance rapide vidéo, soient de temps à autre inopérantes.

Caractéristiques

Capacité 160 Go, lecteur Compact Flash, Memory Stick, SD et MMC, sortie vidéo composite, composante et VGA, prise audio RCA stéréo et 5.1, interface USB 2.

– Lecteur de cartes mémoire – Pas de prise en charge MKV
– Bonnes performances -Connectique assez pauvre
– Possibilité de sous-titres

En résumé

Compact et simple à utiliser, ce disque dur multimédia marque sa différence par la présence d’un lecteur de cartes 4-en-1.

Note : 14/20

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